Photographies des ruines

Photographies (restaurées par M. Daniel ÉON) permettant de faire le tour du château incendié dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, en commençant par l'arrière.

Arrière du château (reconstruit par l'architecte Richard Mique à la demande de Marie-Antoinette).
Détails architecturaux à l'arrière gauche, au rez-de-chaussée.
Extérieur de l'aile gauche (dont la partie gauche, plus haute, avait été reconstruite à la demande de Marie-Antoinette), et détails de cette aile (entre le rez-de-chaussée et le premier étage).

Ruines de l'escalier (construit à la demande de Marie-Antoinette).

Bas-relief présent dans cet escalier (représentant le Triomphe de Flore). Extérieur de l'aile gauche.
Aile gauche (partie originelle donnant sur le parc). Vue de l'intérieur de l'aile gauche
Aile gauche. Façade vue de gauche.
 
Château en ruines.
Canons prussiens dans la cour d'honneur. Cour d'honneur (intérieur de l'aile gauche).
Aile gauche où se situait l'entrée principale avant les travaux de Marie-Antoinette et statue (celle en bas à droite).
Cour d'honneur en ruines.
Partie centrale de la cour d'honneur.
Escalier d'honneur en ruines. Antichambre des Grands Appartements (puis Salon de mars et Galerie d'Apollon).
Salon de Mars (donnant sur l'Antichambre des Grands Appartements, à gauche, et le Salon de Mercure, à droite).
Salon de Mars (puis Galerie d'Apollon).
Aile droite (partie intérieure).
Façade de l'aile droite abritant la Galerie d'Apollon en ruines.
Fronton de la façade de l'aile droite (aux armes de la famille d'Orléans).
Extérieur de l'aile droite (avec le Salon de Diane à gauche, et la Chapelle à droite). Aile droite (avec le Salon de Diane, à gauche, la Chapelle à droite, et la Galerie d'Apollon derrière).
Chapelle (construite à la demande de Marie-Antoinette). Premier étage de la Chapelle (partie au dessus de l'autel).
Chapelle.
 
Aile droite et arrière.
L'empereur Napoléon III et l'impératrice Eugénie furent les derniers témoins et, plus encore, les derniers acteurs des splendeurs du château de Saint-Cloud.
La ville de Saint-Cloud n'est plus qu'un champ de ruines au sortir de la guerre de 1870, et des milliers de personnes se retrouvent sans abri. Dès lors, on comprends mieux pourquoi les autorités républicaines de l'époque ont estimé qu'il y avait des impératifs autres que la reconstruction d'un château, simple résidence d'été de souverains déchus.